Vous souhaitez investir dans l’économie réelle?

Chers adhérents,

 

Nombre d’entre vous sont aujourd’hui à la recherche de sens pour leur épargne.
Certains souhaitent investir dans des solutions écologiques ou investissements dits « Responsables » tandis que d’autres cherchent à orienter leurs capitaux vers l’économie réelle dénommée « Private equity »

 

Pour ceux qui souhaitent investir dans le Pivate equity, le cabinet vous présente PRIMOPACTE

PrimoPacte est une unité de compte en private equity, vous offre l’opportunité de diversifier vos placements et investir dans des petites et moyennes entreprises en croissance et majoritairement européennes.

Son innovation est de vous donner la possibilité d’investir dans des actifs de private equity de premier plan, habituellement réservés aux plus grands investisseurs institutionnels, tout en offrant la disponibilité du capital investi (sur la base d’une valorisation bimensuelle).

Avec ce support vous contribuez au développement de plus de 70 entreprises, constituant actuellement son portefeuille.

Attention Primopacte est éligible jusqu’au 9 septembre 2021.

 

Pour convenir ensemble d’un rendez-vous afin de faire le point sur cette opportunité d’investissement et son adéquation avec votre profil d’épargnant:

 

  • Par téléphone au 01.46.41.01.08 ou au 07.87.38.19.75
  • A l’adresse suivante conseils@neuilly-conseils.com

 

Pourquoi investir dans le Private equity?

Dans un contexte difficile, les entreprises non cotées ont besoin de fonds propres. Pour l’épargnant, le Private Equity, où Capital-investissement en français, est une façon concrète de les soutenir en leur apportant du financement au stade de leur développement.
Investir dans le Private Equity, c’est prendre part à la vie d’entreprises, le plus souvent dans un ancrage territorial marqué, avec des actifs tangibles et la création d’emplois à la clé.

 

Dans le détail, il existe trois typologies d’entreprises à aider financièrement.

– La première dite de « capital innovation » concerne les entreprises qui démarrent, les start-up en somme.

– Le second segment, les entreprises déjà constituées, qui ont besoin de croître et font donc appel à un financement complémentaire, concernant surtout des PME et ETI régionales. Il s’agit là de « Capital développement ».

– Enfin la troisième porte sur la cession ou le rachat partiel ou total d’entreprises, via des financements, il s’agit alors de Capital Transmission, qui est le segment le plus dynamique du Private Equity.

Pour celui qui veut investir dans le Private Equity, deux solutions émergent principalement:
• Soit en direct, via des plates-formes de financement participatif, dites de crowdfunding.
• Soit au travers de fonds d’investissement spécialisés, disponibles dans certaines assurances vie ou accessibles dans des comptes-titres. Cette fois, une société de gestion professionnelle et aguerrie poursuit une stratégie d’investissement dans des entreprises, avec un cap défini et précisément suivi dans la durée. Aujourd’hui, la tendance est clairement à la démocratisation du capital investissement avec des tickets d’entrée abaissés, notamment dans le cadre de l’assurance vie.

Investir dans le Private Equity, c’est finalement donner un autre sens à son épargne. Par exemple soutenir le tissu industriel français en apportant des fonds propres à une PME opérant dans la métallurgie dans son département. Cette proximité est l’un des ressorts de ce marché.

Reste le juge de paix de tout placement, sa performance. Sur ce terrain, les chiffres sont convaincants. Selon France Invest, la performance globale du Capital-investissement s’établit à 10,4 % en moyenne par an depuis son origine, qui date de 1987.

Sur les dix dernières années, le taux moyen atteint 11,3 %, ce qui est supérieur à toutes les classes d’actifs, y compris les actions et l’immobilier.
Pas de méprise toutefois, le Private Equity s’inscrit comme un élément de diversification de son épargne financière, mais de manière très mesurée, 5 à 10 % au plus.

Investir dans des entreprises non cotées suppose aussi un engagement dans la durée, au minimum sur 5 ans, idéalement de 7 à 10 années, voire davantage pour des projets liés à des infrastructures.

Et pour cause, le Private Equity n’est pas aussi liquide que les marchés financiers. Pour un investissement en direct, il faut donc regarder de près les conditions de sortie. Et avec un fonds d’investissement, sauf cas de sortie anticipée prévue, il faut s’attendre à une immobilisation des capitaux sur plusieurs années. Les porteurs de parts pourront récupérer leur mise et les plus-values éventuelles quand le désinvestissement aura été achevé.

Investir dans des titres financiers comporte des risques liés à la fluctuation des marchés boursiers : ni le capital, ni le rendement ne sont garantis. Vous devez donc être prêt à accepter de perdre tout ou partie de l’épargne investie.

Avant tout investissement, veuillez vous référer à la documentation précontractuelle et à la documentation règlementaire mise à disposition.

Source: Investir dans l’économie réelle avec le private equity – Gestion privée – Caisse d’Epargne | Gestion privée – Caisse d’Epargne (caisse-epargne.fr)
Rédaction achevée au 22/02/2021, sous réserve d’évolutions de l’actualité économique et financière, ainsi que des dispositions fiscales, juridiques et réglementaires.
(1) Plus d’infos sur www.bpifrance-creation.fr
(2) Les performances passées ne préjugent pas des performances futures.

Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, l’assurance de mes sincères salutations.

Olivier SINEL et son équipe